L'article
Extrait :
« À la faveur de courts textes, souvent irrésistibles, parfois involontairement philosophiques, elle décrit des scénettes vécues par l’auteur dans les transports en commun de la capitale. On y rencontre des chauves donc, dont le crâne lustré rappelle à Sandrine un ancien amour, des préadolescentes qui se la racontent, des mamies à chien-chien, des dragueurs narcissiques et des mendiants bouleversants. Toute une population que l’on regarde, sans la voir, le temps d’une poignée de stations et que Sandrine Senes nous amène à envisager comme un kaléidoscope, présentant à chaque page une facette toujours renouvelée d’une même humanité. »
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