L'article
C’est dans Ça balance à Paris que j’avais pour la première fois entendu parler de ce petit recueil : c’était le coup de cœur d’un des chroniqueurs (plutôt une des chroniqueuses d’ailleurs si je me souviens bien) (mais le diable si je me rappelle qui exactement). Il m’avait intriguée, car il s’appuie sur une manie typique d’écrivain : regarder les gens et imaginer leur vie. Même si pour ma part je le fais plutôt à la terrasse des cafés…